[Event3]Le Protecteur des Profondeurs

Spaz après une onde de choc surpuissante se retrouva glissant sur le sol poussiéreux de la salle, voyant que l'ogre s'approchait de lui marteau en main Spaz retira le chargeur de son arbalète et attendit. Se transformant en humain à nouveau. Le barbare laissa sa tête reposée sur le sol, bercée par le rythme des pas bruyant de l'ogre. Il concentra tout ses sens sur ce qui l'entourait. L'air, la présence d'Armetia qui n'avait pas encore bougé, le marteau du troll levé au dessus de la tête de celui ci.

Elle était là l'ouverture! La dague brilla et se transforma en longue lance et avant que l'ogre ne pu baisser son marteau d'un saut le chef des barbares lui avait enfoncé la lancé dans sa bouche ouverte et elle sortait par le haut du crane. Spaz retira sa lance et sauta du troll qui par la poussée des pieds du barbare tomba en arrière, mort, du sang sortant par le nez et par la bouche, les yeux révulsés.

Le barbare repensant à l'énigme changea sa lance en une sorte de hachoir de boucher et sauta sur le ventre de l'ogre avant de commencer à lui ouvrir le ventre et à le vider. Après quelques minutes de tripes s'étalant sur le sol et de sang giclant sur le torse et les vêtements de Spaz, il sortit un petit objet qui semblait être une clé pleine de sang. Il leva le bras en direction d'Armetia.

-"Regarde, j'ai ce qu'il nous faut je crois!."

Puis il lui lança la clé.

[Aeon est arrivée, sans se presser^^]

Aeon avait jusque là écouté en silence, tout en suivant le groupe. Elle se méfiait de Spaz, en particulier. Sans doute parce qu ils étaient ennemis lors de la prise de la première arme céleste. La jeune femme, Brittany, lui adressa la parole ensuite, en se présentant. Son sourire franc poussa Aeon à lui sourire aussi. Elle avait l air plutôt gentille et Aeon avait la tête ailleurs, elle songeait au petit garçon qui avait des yeux qu'elle connaissait, sans se douter que c'étaient ceux qu'elle voyait dans chaque miroir.

Je m'appelle Aeon, enchantée. Jolie bestiole! Bien sûr, pourquoi pas la gauche?

Aeon suivit Brittany dns la toute pièce sur le côté et repéra un écriteau.



Ben l'air!

Eh zut. Aeon et son manque de prudence désormais légendaire avaient encore frappé. Il n y avait plus qu à prier pour qu'elle ait raison parce qu elle n'avait pas tellement envie de savoir ce que Brit et elle risquaient... Elle s'éloigna de la porte par réflexe, même si ça ne servirait sans doute à rien.

britany arriva dans la salle, une petite salle oui toute petite. Tout au fond, il y avait un écriteau sur lequelle elle put lire ses mots :



Elle refléchit quellques instant puis entendit aeon répondre : Ben l'air!, mais britany n'en était pas convaincue. Pas mal de chose ce produire dans sa tête, dabord elle pensa que vue la façon dont était écrit l'énigme, il fallait la lire a voix haute, ensuite, il est vrai que l'air pouvait étre la onne réponse, mais elle aurait plutot pensé au silence, qui serait troublé en parlant. bref son ésprit marchait a toute alure que fallait t-il faire?

Aeon recula de la porte et britany la vit faire alors elle l'imita. Nâdiya regardait ce qui se passait apparement sans vraiment comprendre. Britany s'aprocha d'aeon et lui pris le poigné puis

flash :
Deux jambes,voila ce qu'elle voyait deux jambes d'où semblait sortire... le vie. En effet elle assistait a un acoyuchement en directe live. Apparement c'était Aeon quelque années auparavent, en train de doner la vie à... un garçon. En effet un petit qui avait les yeux de sa maman venait de sortir du vagin de sa mére qui se trouvait en ce moment même a coté d'aeon. La vision changait. A présent, on voyait ce petit garçon, ce mêm petit garçon, qui était sortie du ventre d'aeon, et... ce même petit garçon qu était entré avec Grey, et Nerina dans la salle de droite.

Britany revint à elle. Elle lacha le poigné d'aeon qu'elle comancait a sérer un peut trop fort. Elle tourna la tête vers la mére, se demandant pourquoi elle n'avait émis aucune protestation au fait que grey déside de prendre son enfant avec lui au lieu de lui laisser. A moin que grey en fut lui même le pére ce qui ne lui avait pas semblait l'étre. puis elle demanda pouer détandre l'atmosphére

dite il a qu'elle age votre enfant, il me parait bien jeune

[... C'est ton idée de la grande classe je suppose XD]

Enfin, l'air, le calme, quelque chose par là...

Aeon se retourna d un coup à la mention d un enfant. Le sien.

Pardon?

Elle porta la main à son ventre, comme pour s'assurer qu'elle n'était pas enceinte, avant de se rendre compte que c'était ridicule. Prise de court, la pirate ne voyait pas du tout où la femme en face d'elle voulait en venir.

Je n'ai pas d enfant... Ou alors je ne suis pas au courant!

Cette idée lui semblait si stupide qu elle éclata de rire sans savoir que c'était exactement le cas! Et puis, même si c 'était vrai, comment cette fille aurait pu le savoir, d abord? Cependant, Aeon doutait à présent. Le petit garçon qui ressemblait à quelqu'un de familier, c 'était à elle qu il ressemblait. Elle haussa les épaules. On n'accouche pas sans s'en souvenir!!

Vous devez vous tromper de personne, Brittany.

En plus, le moment et l'endroit semblaient mal choisis pour des retrouvailles familiales!

Spaz descendit du ventre de l'ogre pour se diriger vers la porte en compagnie d'Armetia. Le barbare écouta attentivement ce que lui disait la cheftaine avant de répondre simplement.

-"La force d'une équipe réside dans le fait qu'on soit deux."

Puis enfin elle alla ouvrir la porte l'invitant à venir avec elle. Il lui répondit avec un sourire.

-"La mort n'est pas crainte par ceux qui savent l'éviter."

Puis il commença à rire doucement mais s'arrêta dès lors qu'Armetia eut ouvert la porte. L'odeur du sang...partout, sur les murs, le sol, le plafond et pourtant pas un bruit, le noir, le calme. Le barbare resta fixé devant la porte quelques instants en pleine réflexion.

-"Des pièges."

Il avait donné la solution à Armetia qui n'avait peut être même pas sentit l'odeur du sang. Elle était légère mais partout. Spaz se demandait comment ils allaient faire pour se débarrasser de ces pièges. Il n'avait ni sac assez lourd, ni animal.

Après que la porte ait été ouverte, le rebelle scruta l'autre coté mais il faisait trop noir et il ne pouvait rien voir.

*C'est peut-être une autre épreuve ? *

Stradivarius se décida de continuer. Après quelques pas, il tomba sur le dos et commença à glisser à une grande vitesse. La seule chose qui lui passait par la tête en ce moment était:

-AAAAAAaaaaaah !

Quand il finit par atteindre le fond, ses pieds touchèrent le sol en premier et grâce à la vitesse a laquelle il allait le haut de son corps fut propulsé vers l'avant et il se fracassa la tête sur la porte aux quatre serrures.

Après quelques minutes il reprit ses esprits et fit le tour du Hall. Il retourna devant la porte aux quatre serrures et regarda les serrures.

*Les autres serrures doivent être pour les autres clefs que les autres vont amener. En espérant que tout ce soit bien passé pour les autres. *

Il regarda une deuxième fois l'endroit mais cette fois-ci il repéra quelque chose d'écrit... Malheureusement il ne savait pas lire cette langue. Il ne lui restait plus qu'a attendre les autres. Il s'assit par terre et attendit.

*tien tien un amnésique^^*

Britany sourie interieurement, apparement la femme n'était même pas au courent qu'elle était mére, et que son enfant se trouvait ici même sous ces montagnes.

*ten pis ni penson plus*

Elle regarda la clée rouge tomber. Nâdiya s'approcha, et ramassa la clé puis la porta a sa maitresse, ou plutot a son amie. Britany la pris et la tendit a Aeon

"Tenais prenais là, elle m'encombrerais pour rien"

puis elle lui offrit son plus beau sourire. Elle la suivis ensuite dans le couloir pour rejoindre les autre. Il y avait les deux jeun : la file et le fils d'aeon ; et il y avait le neko. puis tout a coup quelque chos lui fit tilte. En effet le neko avait hesité a prendre Thanaël avec lui. Elle se tourna vers grey

"Vous étes au courent n'est-ce pas ?"

devant l'incredulité de grey elle ajouta

"Pour la mére et l'enfants? vous étes au courent n'est-ce pas?"

puis elle se tourna vers Aeon. ça n'était pas le moment de lui raconter. Elle n'avait jamais de vision par hasard, et Britany ne croyait pas au hasard, elle avait rencontré cette femme amnésique mére d'un enfant. Elle devait faire quelque chose, mais pas maintenan. Un révelation a ce moment pourait mal tourner.

Elle se retourna alors vers le goufre ce demandant coument faire pour le traverser sans pont, même Nâdiya était incapable de sauter une tell distance. Elle s'approcha de grey et soudain

Flash :
C'était les temps ancien. Trés ancien et grey était là. Pareille a lui même aucune difference, il ne paraissait pas plus jeune, pourtant il était là.

Britany n'eut pas besoin de laisser sa vision aller plus loin pour comprendre.

"Vous qui étes un ancien, vous trouverez surment le moyen de nous faire traverser sa doit étre dans vos corde."

Comme le pensait Spaz, Armétia n'avait pas senti l'odeur du sang mais elle avait sentit les sortilèges. C'est pourquoi qu'elle s'arrêta à quelques millimètres à gauche du barbare. Elle plaça sa main sur le mur de gauche en fermant les yeux, puis elle lança un poignard devant eux.

C'est à ce moment que quelques flèches sortirent de la gauche et de la droite très rapidement.

La belle lança un regard à Spaz. Elle fit un pas pour être devant lui.

-Il faut avancer tranquillement. Nous devons faire très attention... mais je ne crois pas que ça soit toutes les tuiles du plancher qui font fonctionner les flèches.

Elle tira un autre poignard sur une seconde tuile, la plus près d'eux, diagonale avec son premier poignard, mais rien ne se produisit. La belle fixa les murs en plissant légèrement ses yeux d'elfes. Puis, elle sauta sur la tuile qui comportait son deuxième poignard et regarda vers Spaz.

-Je ne crois pas que toute la salle comporte les mêmes pièges, donc ne faisons aucun mouvement brusque...

Elle attendit quelques secondes, puis leva la main pour faire léviter son premier poignard pour pouvoir les lancer sur les autres tuiles. Pour savoir où ils mettraient leurs pieds. Elle les fit avancer comme ça rapidement, tout en s'assurant que Spaz était bien sur les bonnes tuiles.

Bien vite, ils arrivèrent à la deuxième partie du couloir....

Spaz observa Armetia qui désarmorçait les premiers pièges de manière méticuleuse et prudente. Il la suivit silencieusement pendant plusieurs minutes jusqu'à ce qu'elle prenne une pose. Il semblait qu'il n'y avait plus de pièges pour les prochains mêtres et le barbare en avait assez, ils perdaient beaucoup de temps d'après lui. Il contenait son humeur quand tout à coup il avança sans crier garre et se posta devant Armetia.

-"Je n'ai pas l'habitude de passer autant de temps dans un lieu piègé, si on doit mourir sur ces pièges ont mourra mais j'avance."

Alors qu'il finissait ses paroles, une dalle s'enfonça sous son pied, il évita d'un mouvement de tête une hache qui venait de lui passer devant. Malheuresement son bras n'eut pas le même sort, un filet de sang gicla sur le mur et le vetement déchiré laissait voir une jolie plaie dans la peau de Spaz. Celui dans une grimace leva la tête pour voir des dizaines de haches suspendues au plafond se balancer. Il se retourna vers Armetia.

-"Tu vois je ne suis pas mort."

Il sauta en arrière et se retrouva entre les deux premières haches et continua avec des mouvements de plus en plus acrobatiques jusqu'à la dernière pour laquelle il sortit sa dague, la transforma en marteau et frappa. Elle fut d'écrochée et projeter quelques mêtres plus loin déclanchant le nouveau pièges.

Les dalles devant lui se détachèrent et tombèrent dans un gouffre profond au fond duquel réposaient des pieux pret à empaller le voyageur imprudent. En enfet déjà plusieurs squelettes reposaient sur les pieux tachés de sang séchés. Il s'avança au bord du gouffre et cria en direction d'Armetia qui était à présent assez loin.

-"C'est plutôt facile et amusant essaye!"

Spaz continuait à regarder le gouffre pendant qu'Armetia franchissait les haches. Comment diable allaient-ils passer ce gouffre. Le barbare voyait bien comment, lui seul pourrait passer mais Armetia devait trouver une solution pour eux deux. Il réprima une grimace, la dépendance n'était pas son fort et la coopération avec d'autres non plus, sauf Vlad voila ce qui lier Armetia et Spaz et voila pourquoi il tolérait encore de faire équipe avec elle. Il aurait préféré être seul si elle n'avait pas été là.

Pendant que toute ses pensées lui avaient traversées l'esprit l'elfe avait passé les haches et se tenait à ses côtés. Ses paroles enlevèrent un poids à Spaz, elle savait donc comment s'y prendre.

-"Très bien je prend le prochain, si cela te parrait mieux."

Sa fierté l'empechait de la remercier, mais ne l'empécha de lui sourire amicalement, chose on ne peut plus inhabituelle venant de Spaz. Puis le passage de brume apparut. Le barbare posa un pied prudent sur le chemin, la magie et lui ça faisait plutôt deux. Enfin il emprunta le chemin suivant les pas d'Armetia, un sourire aux lèvres. Il répondit à ses paroles d'un ton toujours aussi posé.

-"Oui, c'est parfait."

Voila qu'il commençait à apprécier quelqu'un d'autres que ces frères d'armes et ses hommes ou alors qu'il considérait Armetia comme une personne sur qui on pouvait compter dans une bataille.

Spaz fut troublé par le sourire d'Armetia, elle se doutait qu'elle commençait à percer les défenses du barbare. Son sourire s'effaça donc au profit du visage neutre habituel qu'il arborait habituellement. Sa pudeur était donc forte au point de ne rien laisser voir. Il continua donc à marcher silencieusement fixant son regard sur le reste du couloir. Puis au moment où il posa le pied sur la première dalle le pont disparut. Spaz continua à marcher pour se poster une nouvelle fois près d'Armetia. Il observa le reste du couloir. Bizarre, il sentait le sang qui tachait les murs, en distinguait les ombres mais pas de squelette ou de corps, aucune trace qu'il y ai eu des morts. Seulement beaucoup de poussière sur le sol, étrange. Il attendit que l'elfe parle avant de lui faire part de ses observations.

-"Du sang sur les murs, aucune trace de corps seulement de la poussière, c'est très étrange. Je propose d'agir prudemment cette fois."

Mais Armetia ne semblait pas avoir écouter ce que le barbare disait ou entendu, toujours est il que lorsque son pied se posa sur la dalle, elle s'enfonça et les pans de murs constituant la dernière partie du couloir semblairent se fissurer, mais en fait les deux partie du mur se rapprochaient trop rapidement pour que quiconque qui court à la vitesse d'un humain très rapide ne puisse atteindre l'échelle.

Un juron s'échappa de la bouche de Spaz avant que son visage ne figure qu'il avait pris sa forme vampirique. Saisissant Armetia par la taille il commença à courir en la plaçant sur son épaule tandis que les murs se rapprochaient de plus en plus dangereusement. La vérité lui arriva vite en plein dans la face. Le poids d'Armetia le ralentisser un peu, mais suffisament pour les empecher de passer ce piège. Une seule solution lui vint à l'esprit.

-"Désolé d'avance."

Ce furent les seuls mots qui sortirent de sa bouche alors qu'il enleva Armetia de son épaule et la lança droit devant lui avec le plus de force qu'il pouvait mettre pour qu'elle arrive au niveau de l'échelle. Puis la lançant il se sentit plus leger et accéléra. Malheureusement les murs étaient déjà trop proches. Il arrivait presque au but! C'était impossible, cela ne pouvait pas finir comme ça! Il dégaina sa dague et la transforma en baton, il le calla entre les deux pans et s'en servit pour passer les derniers centimêtres, puis il le retransforma en dague avant de la retirer, laissant les murs s'entrechoquer dans un bruit sourd.

Armétia fut également troublée par le sourire de Spaz mais elle secoua la tête lorsqu'il reprit son visage neutre. Lorsqu'elle fit son second pas et que la dalle s'enfonça, elle su immédiatement qu'elle avait fait une erreur. Elle n'avait pas du tout compris les paroles de Spaz au bon instant. Les murs se rapprochaient à une vitesse halucinante.

La belle fut surprise du fait que Spaz la place sur son épaule mais ne fit aucun commentaire sachant fort bien que ça leur sauverait la vie. Malgré son léger poids d'elfe, ce n'était pas suffisant et ils seraient vite écrasés. Elle haussa les sourcil lorsqu'il s'excusa puis totalement sous le choc lorsqu'il la lança. Elle ne bougea pas pour ne pas ralentir et lorsqu'elle sentit le sol sous elle, Armétia se releva rapidement pour s'agripper à l'échelle et commencer à la monter doucement attendant le barbare.

Lorsqu'elle arriva au sommet, elle tendit la main à Spaz, en lui faisant un clin d'oeil.

-Merci, Spaz.

Puis, elle avança tout en tournant sur elle-même. Elle ne voyait aucune issue...

-Il doit bien y avoir un moyen de sortir de là...

L'elfe se concentra et on pu voir quelques mèches de couleur argenté apparaître dans ses cheveux ainsi que des crocs. Elle passa sa main droite sur le mur et fit le tour de la salle. Le mur s'illumina d'une lumière blanche à un endroit précis. Armetia s'y dirigea rapidement et plaça ces deux main.

-Il y a un trou de l'autre côté...

Elle se tourna vers Spaz et lui fit un autre de ses sourires... avec ses crocs.

-Tu préfères qu'il disparaisse ou qu'il défonce ?

Mais elle se retourna sans attendre de réponse, recula d'un pas, écarta ses bras l'un de l'autre et tapa fortement dans ses mains... Une énorme explosion se fit entendre avec un gros nuage de fumée. Une fois ce dernier disparut, Spaz pu revoir l'elfe mais son apparence était redevenue normale, ainsi qu'un trou noir devant elle...

Spaz arriva en haut de l'échelle et saisit la main d'Armetia qui l'aida à remonter. Arriver en haut ils découvrirent une grande salle sans issue. Spaz se contenta de répondre à l'elfe le visage toujours aussi neutre.

-"De rien."

Puis il observa Armetia qui faisait appel à ses pouvoirs, sa transformation le surpris mais il n'en laissa rien paraître, lui aussi pouvez se transformer, il comprenait donc plus ou moins le système qui donnait à Armetia des crocs et ces mèches argentées. Lorsque le mur s'illumina un sourire apparut sur le visage du barbare, il aurait pu s'écraser le poing plusieurs fois avant de trouver cette partie du mur. La magie semblait de plus en plus utile et les deux compagnons se complétaient parfaitement de par leurs aptitudes respectives.

Spaz allait répondre à la question d'Armetia quand elle tapa tout à coup dans ses mains et fit exploser le mur. Il se demanda l'espace d'un instant si elle ne lisait pas dans ses pensées et son sourire inquiétant répondit au sourire d'Armetia. La fumée se dissipa et le barbare distingua un couloir dans le noir.

-"Je pense que nous devons continuer dans ce couloir, il ne semble pas piéger."

Puis il avança dans le couloir sombre laissant Armetia le suivre. La traversée du couloir confirma ses dires, aucun piège. Spaz s'arréta, il sentait l'odeur d'un humain. Une odeur qu'il avait déjà sentit auparavent. Il continua à avancer avant de voir la fin du couloir.

Le barbare fut subjugué par la vision que lui offrit la sortie du passage. Un immense hall avec une porte monstreuse équipée de 4 serrures. Une seule phrase pu sortir de sa bouche. Une constatation inutile mais il lui fallait le dire à voix haute pour le réaliser, pour que la réalité s'impose dans son esprit.

-"La porte de la cité naine..."

Il regarda derrière lui vers Armetia et lui adressa un clin d'oeil, chose exceptionnelle pour le barbare.

Armétia était assez satisfaite de son coup. Elle avait dû exploiter les nouveaux pouvoirs qu'elle possédait pour pouvoir faire exploser le mur si rapidement et elle n'était pas déçue de la réaction de Spaz. À l'eux deux, ils formaient un très beau duo.

Lorsqu'il passa devant elle pour traverser le couloir, elle ne dit rien, se contentant de le suivre, un léger sourire sur les lèvres. Elle pouvait en effet, lire en lui comme elle le faisait avec n'importe qui d'autres pour en savoir plus, mais en ce qui concernait Spaz, elle ne l'utilisait pas. Elle voulait percer sa carapace elle-même.

L'elfe fut également sous le charme lorsqu'ils entrèrent dans le Hall de la Porte aux quatres serrures. Elle regarda partout autour d'elle, puis reporta son attention sur Spaz juste au moment où il lui fit un clin d'oeil. Elle lui répondit par un ravissant sourire. Puis s'avança pour être à ses côtés.

-C'est ravissant....

Elle fit également une constation inutile lorsqu'elle vit la grande porte au fond du Hall devant eux.

-La porte aux quatres serrures.

Elle toucha de sa main gantée la clé verte qu'elle avait accroché dans son cou.

Stradivarius se leva et regarda Spaz et Armetia qui entrait. Il avait déjà rencontré Armetia dans le passé mais après que Kalimeo se soit fait battre il avait totalement oublié sa rencontre avec Armetia. Ensuite il regarda celui qui lui avait dit qu'il était un couard dans l'autre pièce. Il le regarda et lui lança:

-Qu'est-ce que vous voulez il y en qui sont forts et il y a les autres qui sont brillants !

Il lança cette phrase sans être trop arrogants en espérant que le poing de Spaz ne se retrouve pas dans sa figure. Mais il espérait que le Barbare comprenne que l'état physique de Stradivarius n'aurait pas pu lui laisser la vie sauve par le chemin que Spaz avait prit. Stradi n'était pas un guerrier sanguinaire qui s'était battu toute sa vie. Il pouvait certes faire mordre la poussière a la plupart de ses adversaires mais en dehors des villes et villages qu'il connaissait c'était différent.

-Vous êtes fort et je suis brillant. Je vous respecte mais je n'en demande pas autant de votre part, mais je crois que ça ferait du bien a nos deux personnes si on faisait simplement s'ignorer. Vous êtes d'accord ?

Le rebelle vit ensuite entrer celui qu'il avait rencontrer sur les plaines et il le regarda se diriger vers la porte. Et déchirer ce qui y était inscrit.

-Alors vous aussi vous avez une clef ?

Il serra la clef qu'il avait toujours a la main.

*S’il a sa clef et qu'elle a aussi sa clef et que moi j'ai la mienne ça fait trois... *

Il relut l'extrait ou il était écrit minimum.

*On ferait peut-être mieux d'avoir les quatre avant. *

Il retourna vers le mur et il s'assit par terre utilisant le mur comme dossier. Ce n'était pas le plus confortable auquel il est été confronté, mais il allait faire l'affaire.