Préparation à l'attaque des Gwhals.

La fillette ressemblant au chef trottinait derrière la neko, l'observant. Elle n'avait jamais vu de femme chatte avant. Elle la regardait avec une curiositée non feinte. Puis elle eût un sourire espiègle. Elle détala à une vitesse impressionnante, bondit, puis attérirt sur le dos de la jeune femme, la faisant tomber par terre. Elle lui dit avec un ton enjoué:- J't'ai eu! Puis elle sentit une odeur familière, elle renifla pour mieux l'analyser, puis elle déclara, d'une voix excitée:- C'est papa! C'est papa! Papa est rentré! La filette abandonna la neko par terre et courût rejoindre son père, qui la prit dans ses bras.

L'air sérieux de l'ancien lui enjoignit de ce taire. Il jetta un oeil aux alentours et donna des ordres à plusieurs personnes. Il expliqua brièvement l'état du Roi et ordonna que l'on ferme les portes de la ville et que l'on prépare une caravanne en direction de l'Oasis, au cas où.

Toujours avec la filette dans ses bras, InuYasha alla vers Sikrie, l'aida à se relever et déclara:- Kerps, pas de mal? Ma gamine est turbulente mais pas méchante. Ohh, à prpops l'état d'urgence est déclarée, je ne peux pas te laisser partir si tu en avais l'intention. Plus personne n'entre ou sort d'Esméa sans une bonne raison, il ce peux que des Gwhals viennent par ici, les survivants de ceux que j'ai chasser d'Egaol, Donc si tu ne peux pas te battre, si ya une attaque, jte demanderais de t'assurer que tout les enfants sont à l'abri.

Sikrieria sentit alors la jeune fille lui sauté sur le dos et de la faire tomber au sol. Sa voix lui fit comprendre que c'était la petite fillette qui l'avait réveillé le matin même. Elle souria légèrement, son bras étant un peu engourdit, malgré la vilaine blessure. Curieusement, le bras blesser était moin douloureux, ce qui maintenant l'aida fermement pour se relever. C'est bizzare qu'elle ai aucune douleur alors que ce matin, cela lui causait des souffrances assez cruelles.

La petite fille parla de son père, Inuyasha. Il était revenu? Eh bien. Pensa-t-elle. Elle se releva sans trop de mal et regarda le chef, visiblement occupé, mais surtout très sérieux. Ce qui signifiait rien de bon. Elle voulu en savoir un peu sur ce qui se passait, surtout quand elle vit les portes se refermées. Cependant, Inuyasha fût plus rapide qu'elle. Il lui raconta alors ce qui se passait et réfléchit légèrement. Elle devait encore attendre avant de prendre son bras blesser pour l'attaque. Elle préféra donc de protégé les enfants.

- Je vais garder les enfants avec moi, au moin ils auront une bonne défense. Néanmoins, je voudrais en savoir d'avantage sur les ennemis qui vont venir ici.

Dit-elle en regarda Inuyasha d'un air, combatif s'il on peut dire. Si elle devait protégé les enfants, elle le ferait sans hésiter. Elle-même avait vu ses petits amies dans son village périr...Uniquement à cette pensé, elle voulait protégé les bambins par tout les moyens.

Sikrieria prit le morceau de tissu et sentit l'odeur. Un haut le coeur s'en suivit et le garda a sa ceinture.

" Avec une odeur pareille je vais les sentirs approché à des lieux!"

Dit-elle un air dégouté sur son visage félin. Elle regarda les enfants qui étaient avec leurs mères et s'approcha d'eux lentement, empruntant son visage le plus tendre.

" Les enfants, dès maintenant il va falloir m'écouté d'accord? Le chef m'a demandé de vous mettre en sécurité, donc de vous protégé. Si je veux mener ma tâche en bien, je vais avoir besoin de votre coopération d'accord?."

Leur annonça-t-elle un genoux au sol et le regard non seulement sérieux, mais assez tendre pour ne pas leur faire peur.

Le garde fût tenté de répondre à la provocation de Keysim mais on entendit alors une femme crier:- Non mais t'es pas un peu con? Ya des Gwhals dans le coin et tu veux renvoyer ce pauvre homme d'où il vient avec une bête surmenée? Ouvre lui la porte! L'homme reprit:- Mais...ma mimine... Elle reprit, les poings sur les hanches:- Pas de mimine qui tiens! Si tu ne veux pas dormir dehors ce soir, fais ce que jte dit! L'homme gromella puis fît ouvrir les portes. Dès que le Cavalier fût passé, il fît refermer les portes et s'en alla bouder dans le poste de garde.

Sikrieria, après avoir eu l'accord des enfants et des parents, regarda la porte s'ouvrir et un homme entré. La jeune femme fixa l'homme et...Elle semblait le connaitre. Son coeur lui disait qu'elle le connaissait...Mais qui était-ce? Il vit alors le jeune homme aller abreuver sa monture et a cette instant, puisqu'il était plus proche, elle pu remarquer certain trait qu'elle avait connu jadis. Elle regarda le jeune homme et alla à sa rencontre.

- Escusez-moi...Puis-je savoir votre nom vous me semblez famillier.

Dit-elle d'un ton à moitier incertain et l'autre moitier était insécure.

La jeune femme, après avoir entendu le prénom, sentit son coeur battre a tout rompre..C'était...Son ami d'il y a longtemps! Ils savaient promit de ce revoir et..c'était maintenant. Keysim sembla la reconnaitre et un sourire cristalin perla son visage.

- C'est bien moi, Sikrieria...Cela fait longtemps Key..N'est-ce pas?

Dit-elle sur un ton timide, c'était la première personne qu'elle avait retrouvé depuis le désastre de son village. Elle reconnaissait maintenant les traits avec le jeune garçon qui voulait devenir chevalier.

- Alors?...Que c'est-il passer depuis 20 ans dans ta vie?

La jeune se surprit de l'étreinte, mais réagit en plaçant ses propres mains sur le dos de Keysim. Elle était heureuse de le revoir, même après autant d'année. Elle écouta ses dires et elle répondit à la question de son ami en disant:

- Moi en 20 ans j'ai eu des moments...Désagréable...Après ta venu, un ans plus tard, mon village a été ravager par une guerre. Ensuite, je ne sais pas qui, mais des gens m'ont prit et m'on emporter dans une prison. Je t'épargne ce qu'ils ont fait pas enlever ma vertue...J'en aurais long à dire. Ensuite j'ai erré de village en village, avec la ferme intention de vivre une vie normale. Je suis venu ici et je suis bien a date. Personne ne juge mon coté felin, je peux être a l'air libre quand bon me semble.

Sikrieria eu l'ombre d'un sourire, elle regarda Keysim et Inuyasha se "disputer" s'il on peux dire, elle les regarda ainsi et soupira en fermant les yeux. Elle sentit les mains de Keysim la prendre et l'emmener vers un banc et il commença à lui parler. Son sourire s'agrandit et elle lui dit:

" Depuis ce moment, tu as été le seul homme qui m'a respecter."

Elle regarda le chef du village et continua:

" Bon Inuyasha aussi, mais les autres hommes ont été d'aucune clémence...Et je crois que bien que personne autre que vous allez m'en donné. Qui voudrait d'une femme comme moi? "

Dit-elle en déposant sa tête sur l'épaule de Keysim laissant une mince larme perler.

Sikrieria commençait a se sentir heureuse en elle...Et voila que cette source de son bien être doit partir...La faible lueur d'espoir vient de partir...Son coeur est détruit une seconde fois. Elle écouta la demande d'Inuyasha, et sans rien de plus, elle quitta les bras de Keysim et se leva pour ensuite parler, ne le regardant aucunement dans les yeux:

" Va rejoindre ton ange...J'ai sentit son odeur sur toi. Va donner ta présence aux autres..."

Elle courru ensuite vers la maison du chef, éteinte. Elle ne voulait plus ressentir cette compassion pour un autre homme.. Keysim et elle s'était retrouver, mais l'odeur de cette femme et la mort d'une autre fait en elle une terrible déception qui la mena vers une depression. Après tout, Sikrieria est la seule de sa race à avoir survécu...Personne en ce monde, sauf Keysim, a réussit à lui tirer un sourire. 20 ans plus tard, une retrouvaille suivit d'une peine innévitable. La jeune femme devait surveiller la fille d'Inu...Sans pour autant être d'une utilité dans ce village.

Sikrieria s'assit sur le lit et commença a pleuré, les larmes ne pouvaient cesser. Elle s'étendit et prit le couteau qui était dans sa botte et se coupa la peau de manière a voir une croix ensanglanter sur son épaule. Elle remit le couteau dans son foureau et elle fit sortir ses crocs de sa bouche pour que maintenant, même sans sourire, ils pouvaient être facilement visible. La tristesse la conquit de plein fouet. La jalousie et la peur est revenu la hanter.