La mort d'un peuple...
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 La pierre tant convoîté.

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Stradivarius
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Stradivarius


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MessageSujet: La pierre tant convoîté.   La pierre tant convoîté. Icon_minitimeSam 3 Mai - 8:01

((J'ai écrit le début en prenant la parole pour Illidrus avec son conscentement pour ne pas a devoir poster sur le début de l'histoire pour enfin revenir au sujet principale. J'ai donc fait un seul poste pour tout résumé.))

Encore une fois leurs aventures les avaient menés vers un endroit reculé du monde. Cette fois-ci, le destin les avaient mené vers Olaën l’île de feu. De leur bateau, ils pouvaient déjà apercevoir l’immense volcan qui se trouvait au milieu de l’île. Il leur restait encore une bonne centaine de mètre a franchire et pourtant ils pouvaient déjà sentir la chaleur que dégageait l’île sur leur peau peu couverte. Il était assez dangereux d’aller sur l’île aussi peu habillé mais les deux aventuriers avait un secret. Une vielle connaissance leur avait donné de l’eau spéciale qui, après l’avoir bu, leur donnerait une protection contre la chaleur pendant une certaine période de temps. Ils n’avaient donc pas de temps a perdre ils devaient se rendre sur l’île prendre ce qu’ils venaient chercher et repartir.

Tout avait commencé lors d’une visite dans un village en ruine. Leur attention fut attirée vers la seule maison qui tenait encore debout. Son habitant était un vieil homme qui malgré son apparence physique repoussante, était sage. Il était sur le point de mourir et il avait un secret a partager avec quelqu’un.


-Ce secret ne doit pas mourir avec moi alors écoutez bien ce que j’ai à dire. On raconte qu’un grand chevalier serait mort après avoir volé un joyau d’une valeur inestimable. On dit qu’il est tellement inestimable que toutes les choses sur la planète mis ensemble ne pourraient pas l’acheter.

-Ou est ce joyau?

L’histoire commençait à ennuyé le vagabond qui voulait maintenant savoir ou se trouvait le joyau en question.

-Si je le savais je vous jure que je vous le dirais, mais je ne sais pas exactement ou il se trouve, je connais seulement l’énigme qui y mène :

Il n'avait pas encore pu saisir une cime,
Ni lever une fois son front démesuré.
Il s'enfonçait dans l'ombre et la brume, effaré,
Seul, et derrière lui, dans les nuits éternelles,
Tombaient plus lentement les plumes de ses ailes.
Il tombait foudroyé, morne silencieux,
Triste, la bouche ouverte et les pieds vers les cieux,
L'horreur du gouffre empreinte à sa face livide.
Les soleils s'éteindront autour de toi, maudit! -
Et la voix dans l'horreur immense se perdit.
Et, pâle, il regarda vers l'éternelle aurore.
Les soleils étaient loin, mais ils brillaient encore.
Enfin il aperçut au loin un noir sommet
Que dans l'ombre un reflet formidable enflammait.
Au centre palpitait et rampait une flamme
Qui par instants léchait les bords extérieurs,
Et de chaque cratère, il sortait des lueurs
Qui frissonnaient ainsi que de flamboyants glaives,
Et s'évanouissaient sans bruit comme des rêves.


Puis, l’homme qui avait utilisé le peu d’énergie qui lui restait pour raconter son histoire, se ramollit dans sa chaise et il expira une dernière fois « Le souffle de l’âme »comme disait l'ancien maître de Stradi. Avec l’aide d’Illidrus, il enterra l’homme derrière sa maison afin qu’il trouve le repos éternel. Ils firent tous le deux une prière a leur manière avant de remonter leurs chevaux et de s’en aller vers le soleil qui se couchait. Ils devaient se trouver un endroit pour se cacher et résoudre l’énigme.

Ils n’avaient pas dit un seul mot mais les deux compagnons craignaient la même chose. Ce village avait été détruit, mais pour quelle raison et par qui. Ils avaient fouiller le village et n’avaient rien trouvé sauf le vieux. Et si la cause de ce carnage était des mercenaires a la recherche du joyau? Ils allaient devoir le trouver rapidement et se cacher.


-Je te parie ce que tu veux, qu’ils sont encore dans le coin et qu’ils nous observent. Ils vont nous suivre jusqu'à ce qu’on le trouve et la ils vont nous tuer.

Il se rapprocha de l’oreille d’Illidrus pour s’assurer qu’il n’allait pas parler trop fort.

-Est-ce qu’on leur montre comment nos chevaux sont rapides?

Ils partirent à toute vitesse ne laissant derrière eux qu’un nuage de poussière qui s’élevait lentement vers le ciel. Des ombres se dessinèrent dans la brume poussiéreuse. Les deux aventuriers avaient misé juste, ils étaient suivis.

-Général ils vont s’enfuir est-ce qu’on engage la poursuite?

-Non laissez-les partir nous le rattraperons plus tard, ils sont tellement bruyants que même s’ils vont à l’autre bout du continent on va pouvoir les trouver.

Les mercenaires avaient raison, les deux hommes n’avaient jamais entendu parler de discrétion ou du moins, il ne mettait pas ce qu’il avait appris en pratique. Les deux hommes se rendirent jusqu'à la frontière d’une forêt. Quand ils furent rendus, ils sautèrent de leurs chevaux et il se longèrent la forêt sur une bonne distance.

-Ça nous donnera quelques jours d’avance s’ils suivent les chevaux. Mais par contre s’ils sont des experts, j’ai bien peur que nous n’ayons que quelques heures a vivre. Allez allons chez ce bon vieux Joluk.

L’histoire de Joluk remontait à loin mais le souvenir qu’ils gardaient de ce vieux bonhommes les faisaient toujours sourire. L’histoire de leur rencontre était bien étrange. Alors que Joluk se faisait violenter par des brutes qui voulaient leur argent Stradi coupait un arbre.

-T ‘inquiète pas Illi il n’y a jamais personne qui se promène sur le chemin l’arbre va seulement s’écraser sur une route pleine de cailloux.

Il donna un dernier coup de hache et comme prévu l’arbre tomba. Ce qu’ils ne savaient par contre c’était que l’arbre était tombé sur la bande gros bandits qui moururent sur le coup. Ils entendirent les cris de joie d’un Joluk dont la vie venait d’être sauvé mais ils prirent le cri pour un cri de femme terrorisé. Ils sortirent de la forêt pour constater l’étendu des dégâts. Mais ce qu’ils virent était un Joluk qui dansait victorieusement autour des corps écraser des ses assaillants.

-Monsieur vous dansez autour de mon arbre…

-Jeune homme c’est vous la cause de tout cela?

-Peut-être…

-Merci, vous êtes arriver au bon moment. Ces mal autrui allaient m’attaquer. Sachez que jamais je ne vous oublierez si vous avez besoin de quelque chose un jour venez me voir et ça me fera un plaisir de vous repayez ma dette envers vous.

Ils repartirent comme si rien ne s’était passé et ils laissèrent l’arbre ou il était tombé. Les années passèrent et les seules fois qu’ils voyaient Joluk était quand il avait encore besoin d’aide.

-Aujourd’hui il repaye sa dette.

Arrivé au grand arbre mort, ils comptèrent trente-six pas vers l’est et ils crièrent :

L’arbre qui est tombé n’est pas l’œuvre d’un être suprême mais bien celle de la lame de l’humain.

Le sol s’ouvrit sur un homme qui poussait le gazon afin de laisser entrer les deux visiteurs dans sa maison souterraine.

-Joluk tu as pris un coup de vieux?

-Stradivarius mon jeune, allez entrer il y a de la soupe.

-Merci mais nous sommes venus pour demander ton aide.

-C’est sérieux?

Stradivarius hocha la tête en guise de réponse ils s’assirent tous sur les seules chaises qu’il y avait dans la maison. Il lui expliqua ce qui s’était passé avec le vieux sage et il lui donna un bout de parchemin sur lequel il avait inscrit l’énigme pour ne pas l’oublier. Joluk relut au moins deux fois le bout de parchemin avant de pousser un long soupir et de poser l’énigme sur la table.

-Je propose qu’on dorme et qu’on y réfléchisse après.

Joluk n’eut pas a les emmener aux chambres, ils savaient ou il se trouvait. Ils se dirigèrent tous les deux vers le même corridor. La lumière se faisait de plus en plus rare mais ils étaient venus si souvent qu’ils auraient pu retrouver le chemin dans la noirceur absolu. Arrivé au bout du corridor Stradivarius tourna à gauche et Illidrus a droite. Le vagabond était tellement fatigué qu’il tomba sur son lit pour se réveiller seulement le lendemain.

Les rêves du vagabond avaient toujours été très étranges mais cette nuit ils semblaient être pires. Tout ce qu’il pouvait voir était des ailes noires et les nuages tout autour. Il y avait de la neige au sol. Une montagne approchait et de l’autre coté, il y avait une guerre. Au sol au milieu de tout ce tapage militaire se trouvaient des humains qui se battait contre une dizaine de personnage surhumain. Une lumière traversait le ciel gris et elle se dirigea vers l’ange aux ailes noir dont les ailes commençaient à tomber en poussière. Des hurlements, la douleur et une colère inégalé se faisaient ressentir chez le rêveur. La carcasse de l’ange déchu tombait vers le sol et c’est la que Stradivarius remarqua qu’il avait quelque chose dans les mains. Quelque chose de rouge qui brillait. Au centre de la grosse pierre, il y avait une boule feu. Le corps s’écrasa et tout devint noir.


-Réveille-toi, j’ai trouvé la réponse a l’énigme!

Joluk était juste a coté de lui et il avait le parchemin dans les mains. A voir les cernes qu’il avait sous les yeux, il devait y avoir passer toute la nuit. Il suivit Joluk vers la cuisine. Il ouvrit le parchemin et analysa l’énigme une fois de plus avant de s’exclamer.

- Mais oui tout fonctionne ça ne peut être que ça!

-Allez dis moi ce que tu as trouver.

-Vois-tu, je n’ai pu que trouver une explication a la deuxième partie mais je crois que la première partie explique seulement comment elle est arrivée à l’endroit ou elle est arrivée.

-Mais de quoi parle-tu?

-La pierre du déchu! Laisse moi finir maintenant d’accord? Apparemment, c’est un ange déchu qu’il l’a apporté puisque l’énigme parle de quelque chose dont les ailes tombent après avoir été foudroyé par quelque chose. Probablement un sort divin. La phrase qui parle du reflet formidable qui enflamme un noir sommet dans un ombre, veut probablement dire que le sommet noir représente à quel point l’ange était diabolique. Il aurait été obsédé par un reflet formidable d’une pierre dans laquelle rampait une flamme.

Tout ce que disait Joluk lui faisait comprendre de mieux en mieux son rêve. Il avait vu sous forme de rêve ce qui s’était passé lorsque la pierre avait été échappé à la porté des humains. Il laissa toute fois Joluk terminer.

-Mais cet extrait est à double sens car en plus de parler de l’objet, il parle aussi de son emplacement. Si on se fit à ça tu sais ou ça te mènera?

- Olaën l’île de feu…

-Oui

Le jeune homme réfléchissait encore a la première partie de l’énigme.

* Il n'avait pas encore pu saisir une cime,
Ni lever une fois son front démesuré.
Il s'enfonçait dans l'ombre et la brume, *


Est-ce que la pierre donnait à son possesseur une dépendance ?

* Il n'avait pas encore pu saisir une cime, voudrait dire qu’il n’avait pas pu arrêter sa chute, ni lever une fois son front démesuré, peut-être qu’il ne levait pas son front car il aurait eu à lever les yeux et a regarder sa dépendance en face. Il s'enfonçait dans l'ombre et la brume, il n’y a pas de doute, la pierre avait pénétré son esprit et il n’était plus capable de l’oublier. *

Stradi fut interrompu dans ses pensés par des bruits de pas qui venait d’au-dessus de leur tête. Les mercenaires les avaient rattrapé.

-Va réveiller Illidrus je m’occupe du reste.

Joluk parti dans la direction de la chambre d’Illidrus pendant que Stradi brûlait l’énigme avec le bout de la chandelle qui brûlait encore.

Il fut très vite rejoint par Joluk et un Illidrus encore endormis.

-Les mercenaires sont revenu on doit partir.

-Sortez par ma sortie de secours vous allez finir dans une grotte. Sautez dans le vide n’ayez pas peur il y a de l’eau dans le fond du gouffre.

-Toi tu fais quoi?

-Mon temps est venu Stradi.

-Je respecte ton choix.

Il serra son vieil ami dans ses bras et lui souhaita bonne chance.

-Attend, prend cette eau, elle vous empêchera de vous déshydrater et d’avoir chaud.

Il lui lança la bouteille et ils partirent dans deux directions opposées. Stradi retourna dans sa chambre et renversa sont lit. Sous le lit se cachait une trappe qui menait à un tunnel sous-terrain. Après une bonne vingtaine de mètre, ils arrivèrent sur le bord du gouffre. Sans attendre une seconde ils sautèrent dans le vide. Afin de ne pas le perdre, Stradi serra très fort la fiole dans laquelle se trouvait l’eau magique. Dès leur arrivée dans l’eau, ils se laissèrent emporté par le courant de la chute. Elle n’était pas bien haute et c’est pourquoi ils survécurent à l’impacte avec l’eau.

Ils sortirent de l’eau pour se diriger plus aisément sur la plage. Jamais ils avaient vu le bord de l’eau sans bateau d’accoster. A leur arrivée sur la plage, ils ont remarqué qu’il y avait bel et bien un petit navire mais celui-ci avait quatorze mercenaires a bord. Ils sortirent leur épée et foncèrent vers le bateau. Stradi fit bondir son épée dans sa main gauche et saisit cinq couteaux qu’il lança à Illidrus qui immédiatement après les avoir reçu, les lança en direction du bateau. Stradi en saisit cinq autres qu’il envoya vers les mercenaires a son tour.

Tous les couteaux avaient trouvé des corps dans lesquels ils pouvaient arracher toute forme de vie.


-Bien visé!


Dernière édition par Stradivarius le Sam 3 Mai - 17:11, édité 1 fois
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Stradivarius
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MessageSujet: Re: La pierre tant convoîté.   La pierre tant convoîté. Icon_minitimeSam 3 Mai - 8:03

((je suis vraiment désolé pour mon double poste mais il manque la fin du poste que j'ai du enlever pour ne pas dépasser la longueur maximum))

A leur arrivée sur le bateau ils épargnèrent la vie des quatre mercenaires qui ne voulaient plus se battre. Ils allèrent rejoindre le fond de l’eau et ils purent assister à la vue d’un bateau qui s’en allait vers l’horizon… leur bateau.

Leur voyage en mer se passa sans altercation et après trois jours de mers, ils purent admirer pour la première fois l’île de feu. Leurs connaissances sur cette île se limitaient à ce qu’ils avaient entendu parler dans les légendes qu’on raconte au jeune enfant.

Il leur restait encore une bonne centaine de mètre a franchire et pourtant ils pouvaient déjà sentir la chaleur que dégageait l’île sur leur peau peu couverte. Il était assez dangereux d’aller sur l’île aussi peu habillé mais les deux aventuriers avait un secret. Une vielle connaissance leur avait donné de l’eau spéciale qui, après l’avoir bu, leur donnerait une protection contre la chaleur pendant une certaine période de temps. Ils n’avaient donc pas de temps a perdre ils devaient se rendre sur l’île prendre ce qu’ils venaient chercher et repartir.

Ils burent tous les deux une bonne gorgée de l’eau magique et sautèrent a l’eau pour faire les derniers cent mètres a la nage. Dès qu’ils sortirent de l’eau, les gouttelettes d’eau qu’ils avaient sur le corps séchaient sans même qu’ils sentent la chaleur. Ceci prouvait bien une chose, la potion marchait. Ils passèrent une heure a chercher au pied du volcan ou ils croyaient que la pierre se trouvaient. Ils avaient oublié que l’effet magique de l’eau n’était que temporaire. S’il ne trouvait pas d’endroit pour se cacher de la chaleur de l’île ils allaient cuirent sur place.


-Euh… on fait quoi?
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Taelys Vael
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MessageSujet: Re: La pierre tant convoîté.   La pierre tant convoîté. Icon_minitimeSam 31 Mai - 12:30

Taelys avait quittée Terak et Britany pour arriver enfin sur la berge en face de l'île de feu. Des cadavres ensanglantés avait été semés sur son chemin, mais ce n'était pas elle qui avait fait cela.

Alors qu'elle se demandait comment elle allait arriver à l'île, elle remarqua plusieurs mouvement autour d'elle. Se retournant, elle sortit son katana et attendit que ces personnes sortent des fourrés ou ils s'étaient cachés.

Plusieurs disaines de mercenaires en sortirent, les armes à la main. Taelys sentit une goute de sueur dévaler son doux visage, mais elle n'y pretat aucune attention.

Celui qui semblait être leur chef dit :

-Eh bien ma belle, on s'est perdue ?

Et d'un geste de la main, il fit signe à ses hommes de l'attaquer tous ensemble. Taelys se mit en garde et commença a augmenter l'apesanteur, ce qui eu pour effet de destabiliser ces grosses brutes, et qui lui permit de tous les abbatre sans autre forme de procès.

Pourtant, il en resta un qui l'attaqua dans le dos et qui réussi à la toucher au niveau de l'épaule droite. La douleur fut assez intense pour la jeune albinos, mais elle ne le montra pas, et découpa en deux l'idiot qui lui avait fait ça.

Après avoir donc fait ce "petit" ménage, elle remarqua une barque abandonnée avec un mat et une voile. Souriant légèrement, elle s'installa dans la frêle embarcation et se dirigea vers l'île de feu.

Plus elle arrivait près du rivage, plus elle sentait la chaleur devenir étouffante. Pour preuve, les goutellettes qui s'étaitent retrouvées sur ses vêtements avaient disparues en moins de deux.

Une fois que l'embarcation toucha terre, la jeune albinos utilisa son pouvoir de la gravité pour pouvoir marcher au dessus du sol pour ne pas se faire bruler. Malheureusement, sa blessure à l'épaule était plus importante qu'elle ne le croyait, et elle redescendit sur la terre ferme plus tot qu'elle ne le pensait.

La vue floue, elle réussit tout de même à distinguer deux formes qui se baladaient sur l'île. Elle essaya d'aller vers eux, mais elle se rendit soudain compte qu'elle se déshydratait à vitesse grand V.

Tombant à terre, elle eue juste le temps de dire :

-Au secours

Avant de s'évanouir complètement, sa blessures saignant encore...
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Stradivarius
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MessageSujet: Re: La pierre tant convoîté.   La pierre tant convoîté. Icon_minitimeDim 8 Juin - 18:44

Les deux hommes ne s'attendaient pas a rencontré quelqu'un d'autre sur l'île mais lorsqu'ils entendirent quelqu'un appeler du secours, ils cherchèrent la source du bruit. Stradi put voir au loin ce qui ressemblait à une jeune femme.

-Illi fait vite et trouve-nous un endroit pour s'abriter du soleil. Dans une minute on va tous cuire sur place si on trouve nul part ou se cacher.

Stradi partit en direction de la jeune femme. En arrivant près de son corps évanoui, il remarqua qu'elle avait une petite différence mais il n'y prêta pas plus attention. Il la prit dans ses bras et se retourna vers Illidrus qui venait de trouver une caverne. Mais la chaleur commençait à lui brûler la peau et le soleil commençaient à chauffer de plus en plus. Ils se mit de dos a la caverne et au soleil afin de protéger Taelys de la chaleur. Sa peau commençait à noircir, rien de bien grave s'il ne s'attardait pas. Lorsqu'il ne lui restait plus que deux mètres a franchir, il se retourna et sauta dans la caverne.

Il remarqua dès la première seconde qu'il faisait beaucoup plus frais dans la caverne. Le dos de son corps et ses bras lui faisait un mal de chien mais il n'avait pas le temps d'avoir mal. La partie gauche de son visage avait commencé à noircir mais tout ça n'était que des blessures temporaires. Il s'installa dans un coin ombré et il attendit que Taelys se réveille.
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Taelys Vael
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MessageSujet: Re: La pierre tant convoîté.   La pierre tant convoîté. Icon_minitimeMer 11 Juin - 16:17

La différence de température ramena doucement la jeune albinos dans le monde réel. Il lui fallut tout de même un certain temps avant d'ouvrir les yeux et de retrouver pleinement sa conscience.

Se redressant avec quelques difficultés, la première chose qu'elle fit fut de porter sa main à sa blessure. Elle ne saignait quasiment plus, mais elle sentait tout de même un léger filet de sang lui glisser entre ses doigts.

Relevant la tête, elle regarda attentivement autour d'elle, et remarqua que deux hommes se tenaient avec elle dans la grotte fraiche. C'était sans doute eux qui l'avaient sauvé.

Ses yeux rouges se plantèrent successivement dans les yeux de Illidrus, puis dans ceux de Stravidarius. Penchant la tête, elle dit d'une voix douce :

-Merci de m'avoir sauvé...
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Illidrus
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MessageSujet: Re: La pierre tant convoîté.   La pierre tant convoîté. Icon_minitimeMer 11 Juin - 23:54

Illidrus regardait la jeune albinos et se demandait qu'est ce que quelqu'un comme elle pouvait bien venir faire sur la terrible île de feu.

-Ça nous fait plaisir, dit il, mais tu dois remercier stradivarius de t'avoir sauvé, je n'y suis pour rien. S'il n'avait pas risqué sa vie pour te sauver je me demande ce qu'il serait advenu de toi. Ce n'est pas que je ne t'aurai pas sauvé mais...je ne suis pas ici pour ça alors je n'ai pas de temps à perdre. Cette île est dangeureuse, tu ne devrais pas être ici. Qu'est tu venue chercher?
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MessageSujet: Re: La pierre tant convoîté.   La pierre tant convoîté. Icon_minitime

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